Fusion nucléaire : plus que cinq ans avant d’allumer un nouveau soleil à Iter

https://www.novethic.fr/actualite/energie/transition-energetique/isr-rse/fusion-nucleaire-le-projet-geant-iter-entre-dans-sa-derniere-ligne-droite-avec-le-debut-de-l-assemblage-du-c-ur-du-reacteur-148842.html

lamentable … tout cet argent des contribuables pour un fiasco en devenir !

https://startpage.com/do/dsearch?query=ITER&cat=web&pl=chrome&language=francais

https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9acteur_thermonucl%C3%A9aire_exp%C3%A9rimental_international

ITER est le plus grand projet scientifique mondial actuel. Il est sujet à de nombreuses controverses, notamment concernant le budget du projet passé de 5 à 19 milliards d’euros.

Coupe du tokamak ITER.

L’entrée en activité et émission du premier plasma est prévue pour décembre 2025 et l’émission du premier plasma en deutériumtritium est prévue pour 2035.

État d’avancement du projet et situation actuelle[modifier | modifier
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  • 2001 : le projet ITER est planifié selon ses concepteurs pour un début de construction près de Cadarache (France) en 2006 pour achèvement en 2016. Puis en 2008, cette date fut repoussée à 2019, avec trois ans de retard sur le calendrier initial8,9,10.
  • 2008 : le budget, d’abord estimé à dix milliards d’euros (50 % pour la construction et 50 % pour l’exploitation) a été porté à treize milliards11 puis en 2009 à 20 milliards12. En juin 2009, la BBC annonçait même 16 milliards de dollars, somme pouvant inciter les responsables du programme à notablement diminuer l’ampleur du projet13.
  • 2009 : en novembre, ce délai a été porté à février 202014.
  • 2010 : pose de la première pierre du bâtiment du siège15.
  • 2012 : Le décret autorisant le projet est publié (Journal officiel le 10 novembre), deux ans après le début des travaux. La phase d’excavation de la fosse d’isolation sismique est déjà profonde de 17 m (là où sera le tokamak), les 493 supports de 1,7 m de haut, dotés de patins parasismiques sont en construction16.
  • 2014 : en février, le magazine américain The New Yorker a publié le rapport d’évaluation du management du projet. Onze recommandations essentielles y figurent dont : « créer une culture de projet », « instiller une culture de sûreté nucléaire », « développer un planning réaliste du projet ITER » et « simplifier et réduire la bureaucratie »17. En juillet 2014, le Sénat américain publie un rapport indiquant que « le Comité ordonne au Département de l’Énergie de travailler avec le Département d’État pour se retirer du projet ITER18 ». Cependant les États-Unis (qui s’étaient engagés à financer 9 % du coût total19) ont poursuivi leur soutien, confirmé en septembre 2016 pour au moins encore deux ans (jusqu’en 2018) au vu d’une amélioration de l’efficacité du projet19 ; mais conditionné à « plus grande transparence dans le processus de gestion des risques » et à « une série de réformes de la gestion », sous réserve du vote du budget de l’énergie par le législateur américain19.
  • Un retard de 5 ans est annoncé : les premiers essais prévus en 2020 sont reportés à 202520.
  • 2016 : en mai, Bernard Bigot, directeur général d’ITER depuis 2015, a indiqué que le premier plasma dans le réacteur est prévu en 2025 pour une pleine puissance en 2035 soit un nouveau calendrier qui induira un surcoût, évalué à 19 milliards de budget de construction21. En décembre, la réussite d’une expérience cruciale conduite sur un « modèle réduit », le miniréacteur thermonucléaire du CEA appelé « West », a refait souffler un vent d’optimisme : avec la production par West de son premier plasma, ITER a franchi une étape importante vers la maîtrise de la fusion nucléaire22.
  • 2017 : en décembre, l’état d’avancement des réalisations indispensables à la production du premier plasma atteint 50 % ; ITER confirme la date prévisionnelle du premier plasma : décembre 202523 et du premier plasma en deutérium-tritium en 203515.
  • 2018 : les États-Unis ont « un certain retard de paiement », mais les grands réservoirs indispensables à la sûreté de l’installation sont arrivés de Chine et des États-Unis et installés dans les bâtiments, dans les délais du calendrier replanifié deux ans plus tôt et selon M. Bigot (directeur du projet) les composants de la construction du tokamak « seront sur place en 2021, dans un bâtiment attendu pour le printemps 202020 ».
  • 2019 : en octobre, le groupement mené par Vinci (60 %) avec l’espagnol Ferrovial (30 %) et le français Razel-Bec (10 %) annonce avoir achevé le gros œuvre du bâtiment principal, qui sera livré en mars 2020. Ce bâtiment tokamak est une installation de 23 000 tonnes, à comparer aux 3 000 tonnes d’un réacteur EPR24.
  • 2020 : les composants ayant été livrés depuis plusieurs pays (Inde, Chine, Japon, Corée du Sud, Italie), la phase d’assemblage du réacteur démarre le 28 juillet, et doit durer jusqu’à fin 2024 pour produire un premier plasma fin 2025 ou début 202625.
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