16 juin 2017 – lacrisedesannees2010
Cet article fait suite aux trois autres publiés les 19 et 22 mai puis le 8 juin. Il clôt la série.
Note Sans a priori – articles publiés sous le N°1927 – Présidence Macron – En marche vers la dévaluation interne le 9 juin 2017
Les billets précédents ont pu montrer que la soi-disant «cigale française» ne correspondait nullement à un choix sociétal mais à une contrainte monétaire. Ils ont aussi montré que cette dernière ne pouvait en aucune façon être levée par une dévaluation interne.
Reste alors la question du taux de change qui sera celle abordée ci-dessous.
Cette question n’est évidemment jamais évoquée et nous ne trouvons guère d’analyse en ce sens concernant l’extraordinaire compétitivité allemandequi fait qu’en 2016
- son excédent extérieur était de 289 milliards d’euros, soit 8,3% de son PIB…
- laissant loin derrière la Chine avec seulement 196 milliards…
Voir l’article original 1 789 mots de plus